Je me souviens
À Montréal, juste avant Noël, un homme et une femme meurent le cou transpercé par ce qui semble être un instrument de torture sorti tout droit du Moyen Âge. Auparavant, ils ont entendu la voix de Lee Harvey Oswald, l’assassin présumé du président Kennedy.
Un sans-abri se jette du haut d’un édifice de la place d’Armes. Ayant séjourné à plusieurs reprises en psychiatrie, il prétendait avoir participé, avec le FLQ, à l’assassinat de Pierre Laporte. Sur le toit, avant de sauter, il laisse deux portefeuilles, ceux des victimes.
La série de meurtres se poursuit, les cadavres s’empilent...
De retour à la section des crimes majeurs, le sergent-détective Victor Lessard mène l’enquête avec, pour le meilleur et pour le pire, la colorée Jacinthe Taillon.
Je me souviens parle d’identité à bâtir, de mémoire à reconstituer et de soif d’honneur.
On peut passer sa vie à chercher qui on est.
Prix Saint-Pacôme du roman policier 2013
Finaliste au Arthur-Ellis Award 2012
Finaliste au Prix Ténébris 2013
50 meilleurs livres de l’année, Journal La presse
Deuxième meilleur vendeur, littérature policière québécoise
Critiques
« Avec son rythme infernal, sa narration sans failles, son style fluide et familier, Je me souviens est le meilleur roman de Michaud. Un thriller... dont on se souviendra! »
- NORBERT SPEHNER, LA PRESSE
« L'écrivain Martin Michaud propose un thriller solide, vif, intelligent, piqué de bonnes pointes d’humour et de références politiques. »
- MARIE-FRANCE BORNAIS, LE JOURNAL DE QUÉBEC
« Dans Je me souviens, l'auteur prouve qu'il possède un talent indéniable pour tricoter une histoire qui se tient et qui garde le lecteur en haleine jusqu'à la toute dernière page. »
- JULIE NIQUETTE, HUFFPOST